pisari

Première apparition dans le Monde Diplomatique en juillet 1997 dans l'article Secrète infirmité des femmes africaines, par Philippe Le Faure & Joëlle Stolz.

Comme tant d’autres, Suwaiba aurait pu trouver refuge dans l’une des gidajen mata (« maisons de femmes » en langue haoussa, parfois aussi appelées de façon méprisante gidajen pisari ou « maisons de l’urine ») qui accueillent dans les grandes villes musulmanes du Nord les milliers de divorcées devenues courtisanes par nécessité (1).