pirandellienne
Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 1987 dans l'article Le cinéma québécois à l'heure de la « restauration tranquille », par Ignacio Ramonet.
Dans une sorte de prouesse pirandellienne, ou le metteur en scène se risque lui même, il propose une véritable autopsie de l’âme québécoise et offre, de manière magistrale, le spectacle de son grand désarroi.