piquage

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1986 dans l'article Marché du travail : la flexibilité a ses raisons que la raison..., par Tiennot Grumbach & Antoine Lyon-Caen.

Aujourd’hui ni contremaîtresse ni prime : une organisation à trois étages, les entreprises qui exploitent les marques, les ateliers de piquage et les sous-traitants, les façonniers et, entre eux, un système informatique qui permet, selon les besoins des propriétaires des marques et les variations de la demande, d’imposer des rythmes de travail, et de contrôler la production.