photogravure

Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 1998 dans l'article Le crédit perdu du photojournalisme, par Edgar Roskis.

Et une troisième invention, celle de la photogravure, pour que l’état du monde, ou du moins l’état visuel du monde, soit enfin disponible au public pour quelques sous, imprimé dans des gazettes goulûment absorbées par une foule ressemblant à s’y méprendre aux promeneurs du Palais-Royal décrits par Balzac dans Splendeurs et misères des courtisanes.