petit-saint-bernard
Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 1995 dans l'article Aux racines de l'autonomie, par Joseph-Gabriel Rivolin.
Entourée de toutes parts de sommets dépassant 4 000 mètres d’altitude, qui font d’elle un périmètre protégé, et où les traditions sont jalousement gardées, elle est en même temps largement ouverte à l’Europe par des cols connus et fréquentés depuis la préhistoire, dont le Petit-Saint-Bernard et, surtout, le Grand-Saint-Bernard, qui, des siècles durant, fut l’une des principales voies terrestres de communication entre la Méditerranée et l’Europe du Nord-Ouest.