personnifiées
Première apparition dans le Monde Diplomatique en juillet 1990 dans l'article Le football, c'est la guerre, par Ignacio Ramonet.
Au cours d’une partie, ce sont les « vertus de la nation » qu’incarnent les joueurs — virilité, loyauté, fidélité, esprit de sacrifice, sens du devoir, sens du territoire, appartenance à une communauté ; et le match — véritable drame sacrificiel — est lui-même une des rares occasions où s’exprime, de façon collective, ce minimum culturel commun qui scelle l’adhésion d’une communauté aux vertus personnifiées par les joueurs (3).