perlant
Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1998 dans l'article Frida Kahlo, la peinture à même la peau, par John Berger.
Dans d’autres tableaux, des gouttes de lait perlant au bout d’un sein, des gouttes de sang suintant d’une blessure, ou encore des larmes coulant de ses yeux, possèdent cette même identité corporelle : la goutte de peinture ne décrit pas l’humeur corporelle, mais semble en être le double.