parraina
Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1978 dans l'article La confession de l'« homme à la cagoule », par Juan René Munoz Alarcon.
Comment donc le délateur, qui n’est même pas capable de prononcer correctement le nom du Chilien d’ascendance anglaise qui le parraina avant le coup d’Etat (il dit « Carlos Aston », au lieu de « Ashton »), voilà qu’au moment de décliner l’identité du diplomate américain, il cite ses deux prénoms « James John », chose qui ne se fait pratiquement jamais dans la vie courante aux Etats-Unis.
Deux autres apparitions
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