paraissions
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1985 dans l'article A Jackie, de tout notre cœur, par Sergio Ramirez.
, — et il donne toujours l’impression de parler du haut d’une estrade tandis que moi, non, moi je ne suis qu’ingénieur en électrodynamique, diplômé de Georgetown University en 1950) et que nous ne pourrions mener à bon terme nos desseins, vu que d’autres organisations sociales et récréatives nous avaient devancés en établissent le contact avec l’ambassade américaine et en envoyant un câble à New-York, chez Jackie, dans la 5e Avenue, et à l’île Scorpio, dans la lointaine Grèce, et que maintenant elles n’avaient plus qu’à attendre sa réponse favorable ; et le past president signalait, avec le sérieux et la sérénité qui le caractérisent, que c’était le Lions International Club et le Rotary International Club qui avaient l’avantage sur nous et contrôlaient la situation (le général Abraham Cornejo, de l’état-major présidentiel, et trésorier de notre club, adore cette phrase), précision qui, à bien y regarder, nous déplaisait fort, non seulement parce que nous paraissions perdre un honneur qui nous revenait mais aussi parce que ces clubs ou organisations n’ont pas, à proprement parler, un caractère exclusif : en devenir membre est facile.