paracas

Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 1973 dans l'article Les travailleurs et l'autogestion au Chili et au Pérou, par Michel Raptis.

Encore très récemment, dans l’important discours qu’il a prononcé le 19 novembre à Paracas, à l’occasion de la clôture des travaux de la conférence annuelle des représentants de l’industrie privée, le président Velasco a mis l’accent sur les points suivants : la « révolution péruvienne » rejette le « système capitaliste » parce qu’il perpétue le sous-développement et la dépendance du pays à l’égard de l’étranger et parce que, en tant que « phénomène total », il implique une morale et une philosophie de la vie, « égoïstes », « antisociales et « anti-communautaires ».