paolina

Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 2014 dans l'article Corse, l’adieu aux armes, par Pierre Poggioli.

Des organisations clandestines — le Front paysan de libération de la Corse (FPLC) et Ghjustizia paolina — l’avaient précédé au début des années 1970, mais elles n’avaient qu’une existence marginale dans la contestation corse, dominée par les autonomistes de l’ARC — qui, après sa dissolution, fut remplacée par l’Association des patriotes corses (APC), puis par l’Union du peuple corse (UPC).