pamana

Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 2012 dans l'article Philippines, terres à l’encan, par Philippe Revelli.

» Outre l’impact social et environnemental, les opposants, soutenus par l’organisation paysanne Pamana (8), par des groupes écologistes et par des représentants de l’Eglise catholique, dénoncent l’utilisation de fonds publics au profit d’intérêts privés : entre 2007 et 2010, 46 millions de dollars ont été dépensés, et 7,5 millions de dollars sont prévus au budget 2012 (9).