périmaient

Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 1999 dans l'article Les dessous de l'affaire du sang contaminé, par Philippe Froguel & Catherine Smadja.

L’entreprise ne disposait à ce moment que d’une réserve d’un ou deux jours de production de tests dont 20 % des lots étaient défectueux, c’est-à-dire se périmaient trop vite (5).