pélog

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1964 dans l'article Le gong et l'archipel, par Jeanne Cuisinier.

Il y a une centaine d’années, un prince de Djokjakarta, prévoyant peut-être l’évolution qui allait se produire, imagina de tracer des portées verticales pour y inscrire les notes ; suivant que le thème à noter était dans le mode pélog ou le mode selendro, le nombre de lignes était de sept pour le premier et de six pour selendro, et l’on n’écrivait rien dans les interlignes.