pédophllie
Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1977 dans l'article Cinémas et sociétés, par Ignacio Ramonet.
Il se confirma de la sorte que Bolognini (on put voir quinze de ses films) est un cinéaste naturaliste préoccupé surtout par les passions les plus troubles (pingrerie, cupidité, arrivisme, débauche, pédophllie, angélisme…), qu’il dissimule, à l’instar de la morale bourgeoise, sous les oripeaux chatoyants de décors somptueux et solennels.