oyats

Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 1983 dans l'article Le dépaysement à deux pas.

Soixante-dix kilomètres de front de mer rectiligne, sans un rocher ni même une anse, bordé par un océan de dunes plantées d’oyats, sans quoi le sable si fin d’ici s’en retournerait bien vite à la vague… Les simples amateurs d’oiseaux ou les ornithologues avertis auront tôt fait de s’égarer dans ce bras de mer aujourd’hui asséché, ensablé, qui a pour nom le Zwin, devenu réserve naturelle.