oyala

Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 2021 dans l'article Dictature oubliée en Guinée-Équatoriale, par Jean-Christophe Servant.

Rétrocommissions, petits cadeaux entre amis, conflits d’intérêts, détournement de l’aide publique espagnole… Dans le catalogue dressé par Montanyà, par ailleurs auteur d’une enquête au long cours sur l’économie du pétrole au Nigeria (8), figurent des ténors du Parti populaire (droite) et du PSOE comme des membres de la famille royale d’Espagne, des hommes de médias autant que des barons du bâtiment impliqués dans des projets d’infrastructure devenus les « éléphants blancs » du régime équato-guinéen : l’aéroport et le projet touristique de l’île de Corisco, la nouvelle capitale, Oyala.