ostermeier
Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 2013 dans l'article Ibsen superstar, par Louis-Charles Sirjacq.
Ce que certains metteurs en scène ont parfaitement compris, qui, comme Thomas Ostermeier (7), se servent du matériau Ibsen, quitte à tout réécrire : avec son dramaturge, il « actualise », coupe les passages trop démonstratifs, change la fin (entre autres celle d’Une maison de poupée), « dépoussière », comme l’écrit Libération (8), reprend dans Un ennemi du peuple des extraits de L’Insurrection qui vient, du Comité invisible, et organise, au milieu de la pièce, un débat avec le public sur le cynisme de la classe politique… Les grandes pièces du déstabilisant Strindberg ne sauraient le permettre.
Un e autre apparition
Un autre article du Monde Diplomatique qui contient ce mot :