oscuro
Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 1992 dans l'article Crise et nouvelles recherches du cinéma latino-américain, par Edouard Bailby.
Si une nouvelle génération de cinéastes préfère le genre burlesque ou intimiste, comme dans El Lado oscuro del corazón, de l’Argentin Eliseo Subiela, ou O Corpo, du Brésilien José Antonio Garcia, la production reste marquée par la dramatique réalité sociale, la corruption dans l’appareil d’Etat ou la violence des forces de l’ordre envers les plus démunis.