onirophilique

Première apparition dans le Monde Diplomatique en janvier 2002 dans l'article La langue de l'étranger, par Jacques Derrida.

» Si je vous adresse un discours si onirophilique aujourd’hui, c’est que le rêve est l’élément le plus accueillant au deuil, à la hantise, à la spectralité de tous les esprits et au retour des revenants (par exemple ces pères d’adoption que furent pour nous, entre autres et jusque dans leurs dissensions, Adorno ou Benjamin, et peut-être Adorno pour Benjamin).