ongulés
Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1996 dans l'article Les animaux sauvages victimes du commerce, par Alain Zecchini.
Au-delà de la pharmacopée orientale, les pays clients sont en quête de ces produits à des fins diverses : la recherche (primates et sangsues) ; la « compagnie » (oiseaux, poissons, reptiles, mygales) ; l’artisanat et l’ornement (ivoire des éléphants, des hippopotames et depuis peu des phacochères, cornes des rhinocéros (1), peaux de reptiles, fourrures de félins, plumes d’oiseaux, écailles de tortues, laine d’ongulés et aussi peaux de pandas géants (2) ; l’alimentation (requins, esturgeons, cétacés, grenouilles) et l’industrie.