olvido

Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 1993 dans l'article Démocratie sous surveillance au Chili, par Gérard Teulière.

Et d’autres Etats — en Amérique latine ou en Europe centrale — citent même la « réussite chilienne » en exemple à imiter… « Ni olvido ni perdon » (ni oubli ni pardon) : cette phrase peinte à la hâte qui s’étale en divers endroits sur les murs du port de Valparaiso n’est sans doute pas du goût de l’évêque de la ville, Mgr Jorge Medina, qui s’est prononcé récemment en faveur de l’oubli et de la cicatrisation de toutes les blessures en vue de la réconciliation des Chiliens (1).