oletta

Première apparition dans le Monde Diplomatique en juillet 2019 dans l'article En Corse, « il y a un éléphant dans le salon », par Jean-François Bernardini.

Ne désobéissant à la loi que parce qu’elle était injuste, Gentile a, de nuit, et au mépris de sa propre vie, donné une sépulture au corps martyrisé de son fiancé, qui était exposé sur la place du couvent d’Oletta et gardé par des soldats (2).