obsessif
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 2002 dans l'article Surexploitation joyeuse aux États-Unis, par Ibrahim Warde.
Au sein des entreprises préférées des salariés qualifiés, l’engagement obsessif dans le travail est justifié tant par l’idée d’une grande et belle aventure (construire l’avenir, changer le monde) que par un climat de guerre sainte (contre les concurrents, contre le gouvernement, contre les archaïsmes) qu’a favorisé la compétition acharnée des années 1990.