oïstraklz

Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 1966 dans l'article Les rapports franco-soviétiques se développent depuis 1958 dans un climat plus favorable, par Constantin de Grunwald.

Il n’est plus permis de parler de « barbarie sarmate » à ceux qui ont applaudi à Paris les ballets de Bolchoï, les chœurs de l’Armée rouge, les grands virtuoses tels que Richter et Oïstraklz ; à ceux qui ont visité le Kremlin, l’Ermitage de Leningrad, les plages de la mer Noire, l’université de Moscou et, plus recemment, l’Atomgrad sibérien.