nycthéméral
Première apparition dans le Monde Diplomatique en octobre 1989 dans l'article Pour une nouvelle conscience planétaire, par Edgar Morin.
Ainsi le rythme cosmique de la rotation de la Terre sur elle-même, qui fait alterner le jour et la nuit, se retrouve aussi à l’intérieur de nous sous forme d’une horloge biologique interne ; celle-ci détermine notre rythme nycthéméral autonome, lequel manifeste sa périodicité, sans nul stimulus extérieur, chez un sujet, humain vivant sans montre dans une caverne.