nuvola

Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1974 dans l'article La classe ouvrière dans le roman italien, par Pierre Laroche.

D’autres récits mettent en œuvre de façon moins immédiate cette aliénation en s’organisant autour de mythes comme celui de l’eau claire, emblème de liberté naturelle, dans La gallina di reparto (Une poule dans l’usine, 1954) ou de la poussière dans La nuvola di smog (le Nuage de smog, 1958) en quoi on peut voir la représentation confuse de l’exploitation du travail.