non-vitaux

Première apparition dans le Monde Diplomatique en février 1995 dans l'article La santé, malade de l'argent, par Jean-Claude Lamoureux.

A la base, un « panier de services » minima relevant de la solidarité nationale ; au-dessus, les soins jugés « non-vitaux » ou trop coûteux, laissés tout ou partiellement à l’assurance privée.