non-soufi

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mai 1990 dans l'article Des musulmans plus responsables, par Chantal Lemercier-Quelquejay.

En réalité, elles ne représentent pas un « islam parallèle », comme voudraient le faire croire les sources soviétiques, car le soufisme ne rejette pas la loi de l’islam ( sharigat, ou charia ) et n’est qu’une forme plus profonde de la croyance : un adepte soufi n’est pas un musulman meilleur, c’est un musulman plus responsable que le non-soufi, mais il ne sera jamais un musulman différent.