non-hongrois

Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 2016 dans l'article Décibels et extrême droite en Hongrie, par Evelyne Pieiller.

L’amour de la patrie s’appuie ici sur la conception « hungariste » de la nation portée par les Croix fléchées — hongrois un jour, hongrois toujours — et s’accompagne d’une haine gaillarde à l’encontre du « non-Hongrois » : le communiste internationaliste, plus implicitement le Juif et plus globalement l’étranger, y compris l’acteur du libéralisme qui importe des produits et des valeurs étrangères à la « hungarité ».