non-commercialisation
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1997 dans l'article Le corps humain mis sur le marché, par Marie-Victoire Louis.
A l’heure où la non-commercialisation du sang, de l’utérus, et d’autres organes humains fait l’objet de nombreux débats éthiques comme de réglementations, il semble inadmissible que de telles politiques se mettent en place sans que personne réagisse dans la communauté internationale, en particulier parmi les défenseurs des droits de la personne.