navarin

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1958 dans l'article Russie et Turquie, par Constantin de Grunwald.

Ce souverain, qui a été le premier à désigner la Turquie comme « l’homme malade de l’Europe », qui a dit un jour à l’ambassadeur d’Autriche : « Je ne me mêle pas des affaires de l’Espagne ou du Portugal ; quant à la Turquie, c’est mon affaire à moi », avait conduit, au début de son règne, contre la Porte, une guerre victorieuse au cours de laquelle les canons de Navarin – russes, français et anglais – allaient saluer la naissance de la Grèce libre : le traité d’Andrinople (14 septembre 1829) garantissait les droits et les privilèges des principautés moldo-valaques, l’autonomie hellénique et le libre passage du Bosphore et des Dardanelles par les bâtiments russes.

Deux autres apparitions

D'autres articles du Monde Diplomatique qui contiennent ce mot :

  1. Nouvelles menaces en Méditerranée, par Georges Buis
  2. « Nous sommes tous des Grecs », par Samuel Dumoulin