nakamal

Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 1980 dans l'article Les Nouvelles-Hébrides du condominium à l'indépendance, par Charles Zorgbibe.

En face, la nébuleuse des partis modérés — groupements francophones, tels que l’Union des communautés des Nouvelles-Hébrides et le Mouvement pour l’autonomie des Nouvelles-Hébrides, influents, le premier à Vaté, au sud de Mallicolo et dans l’île de Pentecôte, le second dans le nord de Mallicolo, où il est très mélanésien, et à Luganville, où il regroupe les colons français et les métis, mouvements coutumiers des îles de Santo et de Tanna (Kapiel, John Frum, Nagriamel…), transfuges du Vanuaaku peu satisfaits du sectarisme de ce parti (Natatok Alliance Party), adeptes francophones et anglophones de l’Eglise évangélique libre de Nouvelle-Calédonie (Friend Melanesian Party) — a pu se consolider au sein d’un grand parti fédéral des Nouvelles-Hébrides (7), tandis que le juriste Vincent Boulekone, ancien ministre de l’intérieur, et l’ancien président de l’Assemblée, Maxime Carlot, tentaient de lancer avec le Nakamal une troisième force originale, à la fois francophone et politiquement progressiste.

Un e autre apparition

Un autre article du Monde Diplomatique qui contient ce mot :

  1. En Nouvelle-Calédonie, les aspirations de la « génération Matignon », par Jean-Michel Dumay