naaba
Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1996 dans l'article Le Burkina-Faso à l'ombre de Sankara, par Michel Galy.
Joseph Ki-Zerbo remarque avoir entendu deux pauvres paysans admirer le « passage du Naaba », identifiant significativement le président élu au traditionnel souverain mossi, celui qui possède le naam, cette force d’origine divine qui permet de commander à autrui, d’organiser un pesant appareil d’Etat, vertical et coercitif.