néphrétiques

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 2009 dans l'article Le Synthol, moteur de l’histoire..., par Dominique Pinsolle.

Une plaquette envoyée à plusieurs médecins en 1929 explique : « La médication externe par le Synthol constitue une thérapeutique nouvelle bien plus qu’un médicament au sens ordinaire du mot, car elle permet au médecin de traiter les états pathologiques les plus variés qui sont liés aux troubles de la vasomotricité » : fatigue, surmenage, vieillesse, migraines, rhumatismes, arthrites, entorses, coliques néphrétiques, contusions, brûlures, varices, phlébites, et même plaies cancéreuses… Vendu en flacon, en ovules gynécologiques et en pommade, le Synthol est, selon Bunau-Varilla, « une loi de la vie, comme l’air, la nourriture, le sommeil (8) ».