néofreudienne
Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1998 dans l'article Relire Marcuse pour ne pas vivre comme des porcs, par Gilles Châtelet.
Ce refus d’abdiquer devant le valet de chambre de soi-même conduit d’abord Marcuse à combattre la psychanalyse révisionniste néofreudienne à l’américaine qui visait à effacer tout ce que Freud pouvait avoir de révolutionnaire et à promouvoir une thérapeutique de fabrique d’individus « adaptés » à leur environnement en optimisant leur réseau « d’interactions humaines ».