néocalédonien

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1962 dans l'article Ni abandon pur et simple ni maintien d'une forme de présence périmée, par Georges Chaffard.

La valorisation, relative, du point d’appui néocalédonien — désormais commandé par un contre-amiral « commandant en chef la zone du Pacifique » — a été entreprise depuis plusieurs années pour obvier partiellement à la remise au gouvernement vietnamien de l’arsenal de Saigon et l’abandon en 1956 des coûteuses installations du cap Saint-Jacques.