mueres

Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 1989 dans l'article Scènes de guerre, éclats de paix, par Françoise Barthélémy.

Mais mon maître n’est pas riche, rien à voir avec une puissante famille telle que les Alvarez, par exemple… » Dans la gloriette du jardin, près de la résidence en bois sur laquelle flotte un air de splendeur passée, il raconte « la peur la plus bleue » de sa vie : comment, dans son ancienne place, les muchachos du Front l’ont menacé de mort pour qu’il leur livre la paye des journaliers : « O das el dinero o mueres » (l’argent ou la vie).