montpelliéraines

Première apparition dans le Monde Diplomatique en août 1989 dans l'article Le développement du Sud et la science, par Raymond Fevrier.

Un certain nombre d’institutions nationales, mais dont les antennes montpelliéraines sont particulièrement développées (CIRAD, ORSTOM, INRA…), jouent un rôle important depuis longtemps dans cette démarche nationale, à travers deux procédures : • D’une part, elles disposent d’un certain nombre d’experts affectés dans les pays en voie de développement pour effectuer des recherches, souvent en collaboration avec les équipes nationales, et contribuer ainsi à une meilleure connaissance du milieu physique, animal et végétal et à déterminer les meilleures conditions d’exploitation de ces milieux à des fins agricoles.