monosyllabisme

Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 2016 dans l'article Traduire Shakespeare, par Jean-Michel Déprats.

La pièce Richard III commence avec un « Now » percutant par son monosyllabisme, qui à la fois dit le temps du théâtre et engage avec énergie l’impérieuse parole théâtrale : « Now is the winter of our discontent / Made glorious summer by this sun of York.