mizrahi
Première apparition dans le Monde Diplomatique en novembre 2017 dans l'article L'émancipation contrariée des Israéliennes, par Laura Raim.
Souvent actives dans les mouvements de paix, elles s’intéressaient plus aux Palestiniennes qu’aux problèmes sociaux des mizrahim, qui constituent pourtant la moitié de la population, et qui ont toujours souffert du racisme et du paternalisme de l’élite ashkénaze », analyse Henriette Dahan-Kalev, chercheuse à l’université Ben Gourion de Beer Sheva et membre du groupe féministe mizrahi Achoti (« ma sœur »), fondé en 1999 précisément pour représenter les besoins des « oubliées » du féminisme libéral : mizrahim, mais aussi Éthiopiennes, Palestiniennes, Bédouines et migrantes de pays africains.