misasi

Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 1970 dans l'article La Calabre à bout de patience, par Brigitte Friang.

Ou bien un trio de noms, toujours, partout, curieusement associés, sur les murs – et généralement sous le symbole d’un animal plus apprécié pour les innombrables manières d’accommoder sa chair que pour sa propreté naturelle, – dans les conversations, dans les articles de certains journaux : Mancini, secrétaire général parti socialiste, Misasi, ministre démocrate-chrétien de l’éducation nationale, et Pucci, sous-secrétaire d’Etat à l’intérieur, membre de ce dernier parti.