misérabilistes
Première apparition dans le Monde Diplomatique en juin 1987 dans l'article Le cinéma québécois à l'heure de la « restauration tranquille », par Ignacio Ramonet.
Les critiques notent qu’il est saisi par « la peur du présent et la peur de l’actualité ; pratiquement aucun film sur le chômage des jeunes, le travail au noir, la crise du syndicalisme, les nouvelles pollutions, le vide idéologique (3) » La plupart des autres fictions souvent misérabilistes ou mélodramatiques, ressassent le défaitisme et la résignation ou baignent dans une paralysante nostalgie (4).
Quatre autres apparitions
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