mini-coups

Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1975 dans l'article Difficile transition vers le parlementarisme, par Marios Ploritis.

Si le retard mis à épurer l’armée pouvait se justifier jusqu’à un certain point (les noyaux de la junte n’avaient pas disparu et les rumeurs de mini-coups d’Etat circulaient souvent), l’indulgence dont le gouvernement faisait preuve dans les autres secteurs, en mettant tout simplement en disponibilité les coupables les plus en vue (ministres de la dictature, tortionnaires notoires, etc.