minhaj

Première apparition dans le Monde Diplomatique en avril 1989 dans l'article Blasphémer et mourir.

Or on peut y lire que, pour certains docteurs, celui qui insulte Dieu ou son Prophète « est exécuté séance tenante et on n’accepte de lui aucun repentir », tandis que pour d’autres son repentir est acceptable (dans un délai de trois jours) s’il témoigne de l’unicité de Dieu et de la mission du Prophète, et s’adresse à Dieu pour implorer son pardon ( Minhaj al-muslim, Paris, Aslim, 1986, p.

Un e autre apparition

Un autre article du Monde Diplomatique qui contient ce mot :

  1. Qui sont les islamistes au Maroc ?, par Mohamed Tozy