migliorista
Première apparition dans le Monde Diplomatique en mars 1997 dans l'article Quand la gauche italienne perd son âme, par Paolo Raffone.
Et, tandis que la droite rate la modernisation sociale, économique et institutionnelle du pays, la gauche se divise en trois courants : radical, avec la gauche du PCI et des groupes comme Democrazia proletaria, Lotta continua et autres ; migliorista, à l’intérieur du PCI, plus ouvert aux compromis avec les gouvernements en place ; réformiste, comme le PSI, lancé — avec succès, pour un temps — dans la construction d’alliances susceptibles de lui ouvrir les portes du pouvoir.