micro-injection
Première apparition dans le Monde Diplomatique en juillet 2017 dans l'article Dernier pas vers la sélection humaine, par Jacques Testart.
[De plus], les vecteurs utilisés, qu’il s’agisse de bactéries, de particules ou même d’une micro-injection, sont destructifs comme un bulldozer qui essaierait de venir faire de la dentelle dans votre cuisine : le stress induit laisse des traces incontrôlées, sous forme de mutations et d’épimutations (1)… » D’autres rares critiques modèrent les annonces d’une amélioration prochaine du génome humain (2).