mi-si

Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 2013 dans l'article Un diable dans la gamme, par Renaud Lambert.

Au XVIIe siècle, sous l’impulsion notamment de Claudio Monteverdi, le processus aboutit à l’adoption de l’accord de septième de dominante (do-mi-sol-si bémol, caractérisé par la présence du triton mi-si bémol) dans ce que Bertrand appelle la « palette du compositeur ».