mi-furieux

Première apparition dans le Monde Diplomatique en décembre 2000 dans l'article L'Afrique conteste en rap, par Jean-Christophe Servant.

Inspiré de l’alloucou, un rythme bété, monté sur des accords synthétiques et servi par des artistes « mi-furieux mi-joyeux » issus des banlieues abidjanaises (Yopougon — où plusieurs dizaines de personnes ont été massacrées après l’élection présidentielle contestée du 17 octobre 2000 -, Adjame et Abobo en premier lieu), le zouglou est devenu populaire au milieu des années 1990 au moment de la contestation étudiante contre l’ex-président Henri Konan-Bédié (3).