mi-badin
Première apparition dans le Monde Diplomatique en septembre 2011 dans l'article Le degré zéro de la patrie, par Alia Mamdouh.
Là elle se met à sangloter discrètement, et elle dit d’un ton mi-badin, mi-sérieux : « Tu sais, mon enfant, je ne vois personne à part ces fourmis qui avancent en ligne jusqu’à leurs maisons, près de ma tête, quand je suis couchée.